Sunday, January 17, 2021

Nickelodeon Junior France Preps Anti-Sexism Series for Children

Nickelodeon Junior, Nickelodeon France's top-rated preschool channel, is gearing up to launch a series that aims to make young children aware of the fight against sexism. Chouette, pas chouette, produced by local prodco 2 Minutes as a co-production with Gaumont, will start airing weekdays at 16:35 on Nickelodeon France. The series follows the adventures of a panther, a beaver, a sheep and all their friends.


The 16-episode series of 1 minute 30 second animated shorts presents various sexist stereotypes, such as girls can’t play soccer or boys can’t do ballet, and asks children to question their prejudices to eventually understand that being a boy or girl does not determine what you can or can’t do.

The programme is supported by an educational booklet on gender equality and the deconstruction of sexist stereotypes and is aimed at four- to six-year-olds.

Chouette, pas chouette was designed by screenwriters and directors Franck Salomé, Fernando Worcel and Nicolas Sedel alongside illustrator Sandrine Acquistapace.

The show, produced in association with Les Chiennes de Garde and The Center for Media & Information Education, was overseen by the former director of youth programmes at TF1, Dominique Poussier, and supervised by consulting firm EY and Make.org Foundation.

Chouette, pas chouette will air across all major TV channels in France, including Nickelodeon Junior, TF1, France Télévisions, Piwi+ (CANAL+ Group), Gulli (M6 Group), and Disney Channel & Disney Junior (The Walt Disney Company group). The initiative is in partnership with Make.org's “Stop Violence Against Women” campaign.

“This initiative is part of the TF1 Group’s action plan in favour of gender equality, the fight against sexism and harassment and also it is an awareness-raising campaign about violence against women,” said Christelle Leroy, director of corporate social responsibility at TF1 Group.

Chouette, pas chouette ! - ép. 1 - LE ROSE



Chouette, pas chouette ! - ép. 2 - LA FOOTBALLEUSE



Chouette, pas chouette ! - ép. 8 - LA COUR DE RECRE



Chouette, pas chouette ! - ép. 12 - LE TROUILLARD


From Make.org:

“Chouette, pas chouette”, une série TV animée pour lutter contre les stéréotypes sexistes

Ce programme pour les enfants de 4 à 6 ans sera diffusé à partir du 13 janvier 2021 sur toutes les grandes chaînes de télévision, réunies pour la Grande Cause de Make.org “Stop aux violences faites aux femmes”.

Produite par 2 Minutes en coproduction avec Gaumont, “Chouette, pas chouette !” est une série de 16 programmes courts animés diffusés à partir du 13 janvier 2021, et tout au long de l’année, dans les programmes jeunesse des plus grandes chaînes de télévision : TF1, France Télévisions, Piwi+ (Groupe CANAL+), Gulli (Groupe M6), Disney Channel & Disney Junior (groupe The Walt Disney Company), Nickelodeon Junior et sur l’application ludo-éducative Bayam, acteurs réunis pour sensibiliser les plus jeunes enfants à la lutte contre le sexisme et au respect de la différence. 

‍Jaja, la panthère, Gégé, le castor, Kiki la brebis et tous leurs copains sont des enfants. Dix enfants comme les autres. Ni beaux ni moches, ni gentils ni méchants, ni bêtes ni super intelligents, ce sont juste des enfants avec comme tous les enfants, des tonnes d’a priori. “Une fille, ça ne peut pas jouer au foot ou devenir pilote d’avion !” “Un garçon, ça ne peut pas pleurer ou faire de la danse classique !” Le principe narratif de ces films est de confronter les très jeunes enfants à ces stéréotypes sexistes pour susciter leur empathie, les pousser à remettre en cause leurs préjugés et comprendre que naître fille ou garçon, grand ou petit, croco ou panthère, ne détermine pas ce que sera sa vie. Bref, que « C’est plus chouette quand on se respecte ! ».

Le programme télévisé est complété par un livret pédagogique autour de l’égalité filles/garçons et la déconstruction des stéréotypes sexistes, et s’adresse aux enseignants de la maternelle à la 6ème, aux éducateurs et aux professionnels de l’éducation. Ce livret est élaboré par le Centre pour l’Éducation aux Médias et à l’Information (CLEMI). 

Les films ont été conçus par les scénaristes et réalisateurs Franck Salomé, Nicolas Sedel et Fernando Worcel, et l’illustratrice Sandrine Acquistapace, avec l’association Chiennes de Garde et le CLEMI, et produits par la société 2 minutes et Gaumont. Le tout piloté par l’ancienne directrice des programmes jeunesse de TF1, Dominique Poussier, et encadré par le cabinet de conseil EY et Make.org Foundation.

‍“Chouette, pas chouette” est l’une des actions issues de la Grande Cause “Stop aux violences faites aux femmes”, initiée en 2017 par la plateforme de mobilisation citoyenne Make.org, en partenariat avec la Fondation Kering. Une consultation citoyenne nationale avait réuni 400 000 participants autour de la question “Comment lutter contre les violences faites aux femmes ?”. L’une des propositions plébiscitées était celle d’Ange : “Il faut que l'on apprenne aux enfants le respect de l'autre sexe, fille et garçon, les faire débattre sur le sujet.” D’où l’idée de la série “Chouette, pas chouette”.

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« Chouette, pas chouette » : Une série animée pour lutter contre les stéréotypes sexistes chez les tout-petits

JEUNESSE A partir de mercredi, Fafa Lapin, Jaja Panthère & Cie s'invitent dans les programmes jeunesse de toutes les grandes chaînes pour plus d'empathie et moins de sexisme

- « Chouette, pas chouette », c’est une série animée de 16 épisodes multidiffusés à partir de mercredi sur TF1, France Télévisions, Canal+, Disney, Gulli, etc.

- Le projet est né dans le cadre de la Grande cause nationale « Comment lutter contre les violences faites aux femmes ? » lancée par Make.org

- Comment parler de ces valeurs aux plus petits ? Un vrai défi pédagogique

A partir de mercredi, ils seront partout, sur toutes les chaînes, de TF1 à Gulli en passant par France Télévisions, Piwi +, Disney Channel et Junior, Nickelodeon Junior et même l’application Bayam. Molang ? Marinette ? Les Petits Poneys ? Non, Fafa Lapin, Jaja Panthère, Lili Cochonne, Toto Goeland et tous leurs copains et copines. Chouette, pas chouette est une nouvelle série animée, destinée aux 4-6 ans et surtout à déconstruire les stéréotypes sexistes comme « Une fille, ça ne peut pas jouer au foot », « Le rose, ce n’est pas pour les garçons «, «Une fille ne peut pas être cheffe «… Des trucs pas chouettes.

Le sexisme commence très tôt, dès la cour de récréation

Chouette, pas chouette est née dans le cadre de la Grande cause nationale « Comment lutter contre les violences faites aux femmes ? » lancée par Make.org, avec plusieurs actions comme la plateforme « Mémo de vie » au service des personnes victimes de violences, des hébergements d’urgences en collaboration avec des hôtels et donc une sensibilisation à la lutte contre le sexisme dès le plus jeune âge.

« De nos discussions avec le Centre pour l’Éducation aux Médias et à l’Information (CLEMI) et l’association Chiennes de Garde, il est vite apparu que la racine du mal des violences faites aux femmes était le sexisme, explique Dominique Poussier, responsable éditoriale du projet et ancienne directrice des programmes jeunesse de TF1. Or, il se manifeste très tôt, dès la cour de récréation. A peine la cloche retentit, que les garçons jouent au foot et occupent les 2/3 de la cour, et les filles se retrouvent dans les coins. »

Toutes les chaînes se sont engagées

Mais on ne parle pas aux enfants comme aux adultes, et même aux ados, sur ces sujets-là. « Il fallait un programme très accessible mais pas trop didactique, dont on imaginait qu’il puisse se glisser dans toutes les grilles des chaînes ». Produite par 2 Minutes en coproduction avec Gaumont, Chouette, pas chouette se compose de 16 épisodes, d’une minute 30, faits pour rester, être multirediffusés. « D’habitude, ce genre de campagne, sur des sujets qui nous tiennent à coeur, dure une semaine, puis on passe à autre chose. C’est le principe même de la télévision. L’objectif était ici que toutes les chaînes s’engagent en même temps, sur la durée, pendant trois ans. Il n’y a eu aucune hésitation. »

Apprendre aux enfants l’empathie et le vivre-ensemble

Chaque épisode questionne un préjugé sexiste et celui ou celle qui l’a dit. Une fille n’a pas le droit de jouer au foot ? Et si toi, tu n’avais pas le droit d’y jouer ? « Ce n’est pas de la faute des enfants, commente la responsable éditoriale de la série. Ce sont des clichés qui sont dans nos têtes depuis longtemps, une construction historique et culturelle. Il n’est donc pas question de les gronder, mais de leur apprendre l’empathie et le vivre-ensemble. D’ailleurs, la voix-off avait un petit côté "tu vois, il ne faut pas faire ça", et on a tout repris pour qu’elle soit moins donneuse de leçon, plus complice et bienveillante. On est dans la nuance, mais c’est très important chez les jeunes ».

Si les 16 courts en appellent d’autres, et il y a de la matière en termes de clichés sexistes, ce n’est pas prévu pour l’instant. Mais un livret pédagogique sur l’égalité filles/garçons et la déconstruction des stéréotypes sexistes sera adressé aux enseignants des écoles, de la maternelle à la 6e, pour ouvrir et continuer le dialogue. Un dialogue et une lecture également possibles avec le livre Les filles et les garçons peuvent le faire aussi chez Gründ, ainsi que, sur une approche différente mais complémentaire, l’inénarrable Mortelle Adèle.

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"Chouette, pas chouette" : avec cette nouvelle série, les chaînes pour enfants s'engagent dans la lutte contre les stéréotypes sexistes

La série met en scène une galerie d'animaux anthropomorphes, dans un univers graphique coloré, avec des scénarios conçus pour confronter les très jeunes enfants aux stéréotypes sexistes et remettre en cause les préjugés en suscitant l'empathie. 

Les principales chaînes pour enfants vont diffuser à partir de l'année prochaine la série animée Chouette, pas chouette, à destination des 4 à 6 ans, afin de lutter contre les stéréotypes de genre et promouvoir l'égalité entre filles et garçons.

"Respect mutuel"

France Télévisions (Okoo), Disney Channel, Gulli (M6), Piwi+ (Canal+), Nickelodeon, le groupe TF1 et Bayard jeunesse (Bayam) diffuseront à partir de janvier cette série en 16 épisodes d'1 minute 30, projet lancé lundi sous l'égide du ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti, d'Elisabeth Moreno, ministre déléguée à l'Egalité entre les Hommes et les Femmes, et de Marlène Schiappa, ministre déléguée à la Citoyenneté.

"Les univers graphiques, l'identité des personnages et les scénarios ont été créés autour du thème du respect mutuel. Ils visent aussi à lutter contre le sexisme ordinaire dès le plus jeune âge et notamment à déconstruire les clichés en tous genres", détaille France Télévisions dans un communiqué.

"Les personnages de la série sont 10 animaux anthropomorphes (5 filles et 5 garçons) : Jaja Panthère, Gégé Castor, Toto Goéland, Kiki Mouton, Nono Croco, Lulu Hibou, Baba Ourse, Fafa Lapin, Lili Cochonne et Wawa Chihuahua. Des enfants qui parlent, jouent, et vivent comme les autres !", précise Canal+ de son côté.

"Initier le dialogue dans les familles et favoriser la tolérance et l'empathie"

"'Une fille, ça ne peut pas jouer au foot ou devenir pilote d'avion !' 'Un garçon, ça ne peut pas pleurer ou faire de la danse classique !' Le principe narratif de ces films est de confronter les très jeunes enfants à ces stéréotypes sexistes pour susciter leur empathie, les pousser à remettre en cause leurs préjugés et comprendre que naître fille ou garçon, grand ou petit, croco ou panthère ne détermine pas ce que sera sa vie", ajoute Disney.

"Adapté aux jeunes enfants, les graphismes sont lisibles et colorés. Et au-delà des problématiques de genre, c'est plus largement le respect de l'autre que ce programme met en lumière afin d'initier le dialogue dans les familles et favoriser la tolérance et l'empathie", estime Gulli, qui ajoute que la chaîne portera ce projet "au-delà de son antenne".

Ce programme, conçu avec l'association Chiennes de Garde et le Clemi (Centre pour l'Éducation aux Médias et à l'Information), est complété par un livret pédagogique autour de l'égalité filles/garçons et la déconstruction des stéréotypes sexistes, qui s'adresse aux enseignants de la maternelle à la 6ème, aux éducateurs et aux professionnels de l'éducation.

Cette initiative s'inscrit dans les nombreuses actions menées dans le cadre de la Grande Cause "Stop aux violences faites aux femmes" (#StopVFF) initiée en 2017 par la plateforme de mobilisation citoyenne Make.org, en partenariat avec la Fondation Kering.

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« Chouette, pas chouette », une mini-série pour dégommer les stéréotypes sexistes

Depuis le 13 janvier, Fafa Lapin, Jaja Panthère, Lili Cochonne et tou.te.s leurs ami.e.s, s’invitent dans votre salon pour distraire vos enfants et faire valser les stéréotypes de genre. "Chouette, pas chouette" est un programme qui s’adresse aux 4-6 ans. Cette série, orchestrée par une troupe d’animaux anthropomorphes, a pour vocation d’éduquer les plus jeunes esprits à la tolérance et au respect de l’autre. "Un garçon, ça ne pleure pas et ça ne porte pas de rose", "Une fille, ça ne peut pas être cheffe et ça n’aime pas le foot!"... ces phrases, qui hérissent le poil, sont mises à mal. Les nouveaux petits héros renversent les "normes" et deviendront sûrement les meilleurs alliés de vos bambins. "Chouette, pas chouette" est bien plus qu’une mini-série basique, c’est un véritable support pédagogique que toutes les chaînes s’arrachent. 

Bienvenue dans le temple du respect

Depuis presque une semaine, ils siègent en maître dans votre poste de télévision et accompagnent le petit déjeuner de vos enfants. Au total, 16 épisodes d’une durée d’1min30 viendront rythmer ce mois de janvier. Aucun sujet n’est laissé dans l’ombre, toutes les thématiques qui concernent le genre sont passées au peigne fin. Les cheveux longs, les métiers, le football, les princesses et les chevaliers… Dans un décor aux couleurs vives, ce gang d’ami.e.s bienveillant.e.s décortique avec leur vision d’enfant, tous ces clichés qui naissent dès la cour de récré. À mi-chemin entre l’insouciance et la maturité, ils tentent de comprendre ce qui cloche dans leurs paroles, parfois involontairement sexistes. 

Au détour d’une conversation, ils apprennent à y voir plus clair et à prendre conscience du poids de certains mots. Le premier épisode se consacrait, par exemple, au "rose". Pour Kiki la petite brebis, c’était ainsi impensable qu’un garçon porte un t-shirt rose et pourtant, son copain Wawa l’a fait. Elle-même se retrouve plongée dans un univers dans lequel on lui impose une couleur qu’elle déteste, elle a un déclic et comprend que chacun est libre d’aimer ce qu’il veut. C’est par le biais de l’expérience et de l’empathie que les protagonistes s’aperçoivent que leurs remarques n’étaient "pas chouettes".

Les chaînes de télévision engagées dans cette lutte

France Télévisions (Okoo), Disney Channel, Gulli (M6), Piwi+ (Canal+), Nickelodeon, le groupe TF1 et Bayard jeunesse (Bayam)... toutes ces chaînes se sont emparées de cette mini-série pour lui donner la visibilité qu’elle mérite. "Les univers graphiques, l'identité des personnages et les scénarios ont été créés autour du thème du respect mutuel. Ils visent aussi à lutter contre le sexisme ordinaire dès le plus jeune âge. Notamment à déconstruire les clichés en tous genres", détaille France Télévisions dans un communiqué.

"Une fille, ça ne peut pas jouer au foot ou devenir pilote d'avion !", "Un garçon, ça ne peut pas pleurer ou faire de la danse classique !".... Le principe narratif de ces films est de confronter les très jeunes enfants à ces stéréotypes sexistes pour susciter leur empathie, les pousser à remettre en cause leurs préjugés et comprendre que naître fille ou garçon, grand ou petit, croco ou panthère ne détermine pas ce que sera sa vie", complète Disney.

Faire bouger les lignes

Ce projet, lancé sur la plateforme citoyenne Make.org et soutenu par l’association féministe Les Chiennes de Garde ainsi que le Clemi (Centre de liaison de l’enseignement et des médias d’information) compte faire grand bruit. En effet, si les 4-6 ans sont les principaux concernés par ce dessin animé, les adultes aussi doivent en prendre de la graine. "Chouette, pas chouette" se destine aussi au corps enseignant, elle fait office d’outil pédagogique ludique et distrayant. Cette mini-série est une belle alternative au clip institutionnel sérieux souvent diffusé en début de cycle scolaire.

D’ailleurs, "Chouette, pas chouette" est complétée par un livret pédagogique sur l’égalité filles/garçons. Il sera adressé aux enseignants des écoles, de la maternelle à la 6e, pour étendre davantage le débat.

D’autres initiatives dégomment aussi les stéréotypes sexistes de façon instructive. C’est le cas du livre "Les filles et les garçons peuvent le faire aussi" ou de la collection "J’aime PAS". À découvrir sans plus tarder !

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Originally published: Tuesday, January 12, 2021.

Source: C21 Media.

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